C’est vrai que je mélange toujours les choses. J’ai cette chance incroyable depuis des années de ne plus devoir me demander où je veux aller en voyage parce que j’ai des propositions, des invitations un peu partout. Je suis invité, pour des raisons professionnelles et j’en profite alors pour faire des escapades privées, pour voir les zoos locaux. Les destinations personnelles que je choisies ne sont en général que des city trips, pas plus que cela. Évidemment, quand je vais par exemple en Australie, avec mon billet d’avion payé, cela tombe sous le sens que j’aille visiter Taronga à Sydney, que j’aille dans une réserve naturelle pour voir des koalas ou la barrière de corail à l’est de l’Australie. C’est une évidence. Quand j’ai été au Burundi, c’est là que j’ai été voir les gorilles de la montagne. Ce sont des opportunités et cela me remplit déjà bien assez mon agenda. Dans certains cas, je peux prolonger mon voyage. Par exemple, j’ai été invité quatre jours au Salon du livre de Québec et j’en ai profité pour aller en avion jusqu’à Toronto et de là commencer un trip de 15 jours où j’ai fait environ la moitié de la hauteur des Etats-Unis pour aller voir une douzaine de zoos, de musées et d’aquariums, en terminant à Atlanta pour reprendre l’avion. Donc cela peut être très important. C’est comme un grand incendie à partir d’une étincelle.
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